Les entrées en lumière
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L’entrée en lumière du mois
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Français
œillard
Étymologie
- (1762) Apparaît en moyen français sous la forme d’œullard (1554). De œil avec le suffixe -ard.
Nom commun
Vue d’un œillard de meule (définition 1)
œillard \œ.jaʁ\ masculin
- (Technique) Ouverture qui reçoit l’axe d’une roue de moulin.
- Elle présente en son centre un trou circulaire, l’œillard, qui permet l’introduction du grain entre les meules. La mobilité de la meule supérieure est très délicate à assurer. Il faut en effet que la masse de pierre évidée en son centre soit parfaitement centrée sur le pivot de fer et que, ceci fait, elle tourne parfaitement équilibrée. — (Le tournant sur http://moulindelamousquere.pagesperso-orange.fr/)
- (Technique) Trou au centre d’une roue de pompe centrifuge qui permet à l’eau d’entrer avant d’être délivrée dans les aubes grâce à une ouïe.
- Lorsque l’on augmente le coefficient de débit δ d’une pompe centrifuge et, par conséquent Ns, on est conduit à augmenter la largeur de la roue à sortie et surtout les sections d’entrée, donc le diamètre d’entrée (c’est-à-dire de l’œillard). Si l’on prolonge ce processus assez loin, le diamètre extérieur de l’œillard se rapproche du diamètre extérieur de la roue ; il ne devient plus possible de conserver constant le diamètre de sortie. La pompe devient hélicocentrifuge. — (Jean Poulain, Pompes rotodynamiques : Projet d’une Pompe, Éditions Techniques de l’Ingénieur, 2004, page 5)
- (Technique) Pour un étang, trou pouvant être régulé permettant au trop plein d’eau de s’écouler à l’extérieur.
- La fermeture de l’étang, est constituée un appareillage en bois qui maintient la bonde et la grille. Le débit de l’eau qui s’échappe est réglé par un pilon qui se loge dans un trou prévu à cet effet creusé dans le corps de la bonde nommé œillard. Une fois la fermeture assurée, il ne reste plus qu’a attendre les premières pluies et les eaux de ruissellement pour remplir le bassin, mais également pour donner vie à toute une végétation nouvelle. — (Étang et zones humides, http://ligerien.christian.pagesperso-orange.fr)
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Janvier
Anglais
rack
Étymologie
- (Nom commun) (Environ 1300) Du moyen anglais rack, probablement du moyen néerlandais rec (« cadre »). Attesté en (1797) dans le sens « crémaillère ».
- (Verbe) (1530) Probablement par altération de rock, lui-même du moyen anglais rokken, de l’anglo-saxon roccian. À rapprocher du vieil haut allemand rucken.
Nom commun
A rack and a pinion (« Une crémaillère et un pignon »).
A feeding rack (« Un râtelier à fourrage »).
rack \ɹæk\
- (Mécanique) Crémaillère, tige dentée permettant un déplacement linéaire.
- The combination of rack and pinion are often uses as a part of linear actuator. — (Sandesh, Rack And Pinion Market to Witness an Outstanding Growth During 2017 to 2027, Herald Research, 19 novembre 2019 → lire en ligne)
- La combinaison de la crémaillère et du pignon est souvent utilisée comme partie d’un actionneur linéaire.
- (Élevage) Râtelier à fourrage.
- We do need to bottle-feed and stimulate them to urinate when they are very small, but as soon as that’s done and they’re drinking from a bottle, we put them on a feeding rack and we are pretty much hands-off. — (Lisa Deaderick, Although she ‘can’t save them all,’ wildlife rehabilitation expert is saving as many as she can, The San Diego Union-Tribune, 2 novembre 2019 → lire en ligne)
- Nous devons les nourrir au biberon et les inciter à uriner lorsqu’ils sont très petits, mais dès que c’est fait et qu’ils boivent à la bouteille, nous les mettons sur un râtelier à fourrage et nous ne les touchons plus vraiment.
Verbe
A racking elephant (« Un éléphant amblant »).
rack \ɹæk\ intransitif
- (Équitation) Ambler, avancer à l’amble.
- Hayworth is a five-gaited horse, meaning he can walk, trot, slow gait, rack, and canter. — (Alexis Gemelas, One Girl, Three Horses, 12 Years and Counting, Cleveland.com, 30 janvier 2019 → lire en ligne)
- Hayworth est un cheval qui a cinq allures. Cela veut dire qu’il peut marcher, trotter, avancer lentement, ambler et galoper.
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Février
Français
mousse
Étymologie
- (Nom commun 1) Provient probablement à la fois du vieux-francique *mosa (issu du néerlandais mos) (« mousse », la plante) latinisé en mossa, et du latin mulsa (« hydromel »), qui aurait été utilisé pour désigner la plante métaphoriquement.
- (Nom commun 2) Emprunté soit à l’espagnol mozo (« garçonnet, jeune homme puis apprenti marin ») soit au catalan mosso (« jeune homme puis apprenti marin »), lui-même emprunté à l’espagnol mozo. Le mot mozo vient du latin muttiu (« émoussé »), à cause du fait que l’on rasait la tête des garçonnets et des jeunes gens.
Nom commun 1
La mousse d’un cappucino.
mousse \mus\ féminin
- (Botanique) Plante rase des lieux humides.
- En 1873, le bryologue RENAUD publiait, en collaboration avec D. LALOY, un excellent Catalogue des plantes phanérogames et des Mousses observées jusqu’à cette époque dans le département de la Haute-Saône […] — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises, les associations végétales de la vallée de La Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 2)
- (Figuré) Amas serré de bulles qui se forme à la surface d’un liquide.
- Un cantinier qui se rase sur l’accotement, sa glace pendue à un cerisier, attend avec nervosité, la figure débordant de mousse, que nous ayons fini de faire trembler la route. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
Nom commun 2
mousse \mus\ masculin
- Jeune marin.
- Les mousses, en raison de leur gymnastique particulière, ont aussi les bras et les muscles pectoraux très-gros. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- Jean Donnard allait répondre, quand les sept marins et le mousse, qui formaient le reste de son équipage, apparurent sur la cale, portant leurs capotes de toile cirée et leurs paniers d’osier. — (Octave Mirbeau, Les eaux muettes)
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Mars
Français
œillard
Étymologie
- (1762) Apparaît en moyen français sous la forme d’œullard (1554). De œil avec le suffixe -ard.
Nom commun
Vue d’un œillard de meule (définition 1)
œillard \œ.jaʁ\ masculin
- (Technique) Ouverture qui reçoit l’axe d’une roue de moulin.
- Elle présente en son centre un trou circulaire, l’œillard, qui permet l’introduction du grain entre les meules. La mobilité de la meule supérieure est très délicate à assurer. Il faut en effet que la masse de pierre évidée en son centre soit parfaitement centrée sur le pivot de fer et que, ceci fait, elle tourne parfaitement équilibrée. — (Le tournant sur http://moulindelamousquere.pagesperso-orange.fr/)
- (Technique) Trou au centre d’une roue de pompe centrifuge qui permet à l’eau d’entrer avant d’être délivrée dans les aubes grâce à une ouïe.
- Lorsque l’on augmente le coefficient de débit δ d’une pompe centrifuge et, par conséquent Ns, on est conduit à augmenter la largeur de la roue à sortie et surtout les sections d’entrée, donc le diamètre d’entrée (c’est-à-dire de l’œillard). Si l’on prolonge ce processus assez loin, le diamètre extérieur de l’œillard se rapproche du diamètre extérieur de la roue ; il ne devient plus possible de conserver constant le diamètre de sortie. La pompe devient hélicocentrifuge. — (Jean Poulain, Pompes rotodynamiques : Projet d’une Pompe, Éditions Techniques de l’Ingénieur, 2004, page 5)
- (Technique) Pour un étang, trou pouvant être régulé permettant au trop plein d’eau de s’écouler à l’extérieur.
- La fermeture de l’étang, est constituée un appareillage en bois qui maintient la bonde et la grille. Le débit de l’eau qui s’échappe est réglé par un pilon qui se loge dans un trou prévu à cet effet creusé dans le corps de la bonde nommé œillard. Une fois la fermeture assurée, il ne reste plus qu’a attendre les premières pluies et les eaux de ruissellement pour remplir le bassin, mais également pour donner vie à toute une végétation nouvelle. — (Étang et zones humides, http://ligerien.christian.pagesperso-orange.fr)
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